
The TransAtlantic Entrepreneur
Welcome to the TransAtlantic Entrepreneur podcast (formerly know as American Market Alchemist): Helping European entrepreneurs become visible, valuable, and well-connected with American clients, so they can thrive in the American market.
In this podcast, we embark on a journey to break down the cultural, language, and mindset barriers holding you back from success with American clients. Our ultimate goal? Help you tap into the lucrative market of doing business with American clients.
Each episode of the TransAtlantic Entrepreneur podcast gives you actionable insights, firsthand success stories, and advice from experts in the U.S. market as well as entrepreneurs who have successfully navigated the path from Europe to America.
You'll get in-depth interviews with business leaders and seasoned entrepreneurs who share their wisdom, challenges, and the secrets behind their success in the American market.
We'll cover everything from cultural nuances to marketing strategies, customer psychology, and networking tactics that are essential for any European entrepreneur or small company seeking to establish a first foothold or expand their presence in America.
Whether you're a tech startup looking to disrupt the Silicon Valley scene, a fashion brand aiming to make a statement in New York's bustling streets, or a food and beverage company hoping to tantalize the taste buds of Americans, the TransAtlantic Entrepreneur podcast is your go-to resource.
Join us as we uncover the treasure trove of opportunities waiting for European businesses in the U.S.
Let's set sail NOW!
The TransAtlantic Entrepreneur
De Paris à New York : comment Marion Siboni a réuni 6 000 femmes STEM en 18 mois
Dans cet épisode du TransAtlantic Entrepreneur, j’ai le plaisir de recevoir Marion Siboni, fondatrice de La Crème de la STEM, un réseau unique qui connecte et propulse les femmes fondatrices en tech et sciences vers le succès international.
Marion est une business developer hors pair, passée par Cisco, MongoDB et Techstars, aujourd’hui mentor pour le Département du Commerce américain, South by Southwest et SelectUSA.
Elle a bâti une communauté de 6 000 femmes en STEM à New York en seulement 18 mois, tout en accompagnant des fondatrices dans leur levée de fonds, leur personal branding et leur réseau aux États-Unis.
Dans cet épisode, on parle :
🇺🇸 Marché américain : comment comprendre et s’adapter aux codes business US.
🌆 Networking à New York : les bonnes pratiques pour se faire remarquer, créer des connexions utiles et faire des follow-ups efficaces.
💡 Personal branding : comment se rendre visible sur LinkedIn sans “bullshit” ni surjeu.
🚀 Entrepreneuriat féminin : comment construire, scaler et animer une communauté dans un écosystème compétitif.
💸 Investisseurs et VCs : comment approcher les bons interlocuteurs quand on est une fondatrice française.
👉 Si vous êtes fondatrice, entrepreneur·e, ou dirigeant·e français·e qui rêve de réussir aux États-Unis, cet épisode vous donnera des clés concrètes pour accélérer.
Chapitres (timestamps indicatifs)
00:00 – Introduction et parcours de Marion (de Paris à New York)
04:30 – Se réinventer professionnellement aux États-Unis
08:15 – Le rythme et la culture “early” de New York
12:00 – Le personal branding à l’américaine
16:40 – Créer du contenu et trouver sa voix sur LinkedIn
24:20 – La naissance de La Crème de la STEM
30:30 – France vs États-Unis : la mobilité et les opportunités
35:10 – Networking : l’art du follow-up et des connexions ciblées
42:30 – Où suivre Marion et ses ressources
À propos de mon invitée
👉 Marion Siboni est la fondatrice de La Crème de la STEM, mentor pour Techstars, SelectUSA, SXSW et le Département du Commerce américain.
Ancienne business developer chez Cisco, MongoDB et Microsoft, elle accompagne aujourd’hui des fondatrices en STEM pour lever des fonds, construire leur crédibilité et réussir sur le marché américain.
Ce que vous allez retenir de cet épisode
• Comment le networking américain diffère du networking français.
• Les secrets du personal branding efficace sur LinkedIn.
• Pourquoi la régularité et la clarté du message sont plus importantes que l’algorithme.
• Comment une Française a su bâtir un réseau d’influence à New York.
• Les leçons de résilience et d’audace qui font toute la différence aux États-Unis.
Ressources mentionnées
🔗 La Crème de la STEM : https://lacremedelastem.com
🔗 Page presse : lacremedelastem.com/presse
🔗 LinkedIn de Marion : https://www.linkedin.com/in/marionsiboni/
🔗 Substack de Marion : lacremedelastem.substack.com
🔗 Mon site : https://transatlantia.com
Pour qui est cet épisode ?
• Pour les entrepreneurs français qui veulent attirer des clients ou investisseurs américains.
• Pour les fondatrices en STEM à la recherche d’un réseau international solide.
• Pour celles et ceux qui veulent créer un impa
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Chaque semaine, je partage des insights, outils et stratégies réservés aux entreprises francophones qui visent le marché U.S.
Pour les recevoir, rejoignez gratuitement le Cercle des TransAtlantic Entrepreneurs : https://transatlantia.com/transatlantic-entrepreneur-newsletter
#ExpansionUSA
#VendreAuxÉtatsUnis
#MarchéAméricain
#ProspectionUSA
#ABM
#ABMCulturel
#IntelligenceCulturelleUSA
Christina Rebuffet-Broadus (00:01.146)
Bienvenue dans le Transatlantic Entrepreneur. Aujourd'hui, préparez-vous à rencontrer une invitée qui incarne à la perfection l'audace et la réussite à l'américaine, si on peut dire ça comme ça. Aujourd'hui, je reçois Marion Siboni, fondatrice de la Crème de la STEM ce réseau unique qui connecte et propulse les femmes fondatrices en tech et sciences vers le succès international. Marion.
Marion (00:01.771)
...
Christina Rebuffet-Broadus (00:28.618)
si vous ne le connaissez pas, mais vous le connaissez sûrement déjà de LinkedIn et de partout sur le web. C'est une business developer redoutable. est passée par Cisco, MongoDB ou encore Techstars, mais elle est surtout une community builder hors pair. Elle est arrivée à New York. Elle a rassemblé plus de 4000 femmes en STEM en moins d'un an, 6000 en un an et demi.
Et aujourd'hui, elle est menteure pour Techstars, le département de commerce américain South by Southwest, et elle connecte des fondatrices avec des investisseurs et des VCs des deux côtés de l'Atlantique. On s'est rencontrés nous à Aviva Tech cette année, c'était un vrai plaisir. Elle a co-hosté un concours de pitch avec des VCs internationaux pour justement dénicher des nouveaux talents de la tech ici en France et surtout...
en Occitanie, donc petit clin d'œil à notre région préférée. Et dans cet épisode, Marion, elle partage son parcours, ses stratégies et surtout son mindset pour oser viser les États-Unis et y trouver sa place. Donc si vous êtes entrepreneur et vous rêvez de réussir aux États-Unis, cet épisode est une vraie leçon de scaling et de vision internationale. Marion, c'est un immense plaisir de t'accueillir dans The Transatlantic Entrepreneur.
podcast.
Marion (01:53.234)
Merci beaucoup, suis ravis d'être là.
Christina Rebuffet-Broadus (01:55.454)
Non, c'est avec grand plaisir. Et on va commencer justement peut-être par la question qu'on pose toujours à des étrangers, des expatriés, des immigrés, comment on veut appeler ça. Comment tu es arrivée à New York?
Marion (02:09.813)
Oui, en fait moi je suis mariée avec un américain. On habitait ensemble à Paris, il y eu une opportunité business à New York et donc c'est comme ça qu'on aime déménager de Paris à New York. Donc je suis arrivée sous de très bonnes conditions puisque je suis arrivée sous green card de 10 ans. Ce qui n'est pas le cas de tous les Français qui arrivent ici.
Christina Rebuffet-Broadus (02:24.366)
Oui. D'accord. De tout le monde. Oui. Oui, d'accord. OK, donc là, arrivé à New York et une petite question, est-ce que là à New York, ce que tu fais aujourd'hui avec la crème de la stem, c'est ce que tu as toujours fait ou quel est ton parcours, ton background en fait? Est-ce que tu t'es réinventé à New York ou est-ce que tu as continué ce que tu faisais déjà?
Marion (02:51.655)
Oui, alors j'ai dû complètement me réinventer effectivement, mais tout en utilisant les compétences que j'ai acquises au cours de ma carrière. Comme tu l'as dit, j'ai vraiment un background de business developer. J'ai commencé ma carrière avec un graduate programme chez Cisco où j'ai passé trois ans et demi en tant que sales et core manager. Et ensuite, j'ai travaillé pour une startup d'intelligence artificielle qui est devenue l'e-corn pendant que j'y étais.
Christina Rebuffet-Broadus (02:57.134)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (03:07.982)
...
Marion (03:18.091)
Donc j'ai travaillé en tant que camp de manager, mais je suis passée en tant que global partner manager en gérant le partenariat avec Microsoft au niveau monde. J'ai scalé le partenariat de 2 à 24 pays, j'ai travaillé sur la partie channel marketing, product integration sales enablement et évidemment sales. voilà, déjà assez entrepreneurial dans ma carrière.
Christina Rebuffet-Broadus (03:28.43)
...
Christina Rebuffet-Broadus (03:37.962)
Oui. Oui.
Le journal...
Marion (03:43.723)
et j'ai gagné deux Microsoft Partner of the Year Awards, après un an et demi de ce poste sur les partenariats. Et ensuite, j'ai travaillé chez MongoDB en tant que senior partner manager. Donc là, j'étais en charge de gérer des partenariats avec Capgemi, Accenture, Microsoft, Amazon, you name it, comme on dit, une multitude de partenaires.
Christina Rebuffet-Broadus (04:02.51)
Oui. Oui. Tous les grands.
Marion (04:09.609)
Voilà, et donc quand je suis arrivée à New York, du coup, j'ai dû, j'ai dû effectivement me réinventer, trouver ma place dans l'écosystème tech qui est très différent de l'écosystème tech français. Même si j'avais travaillé pour des entreprises américaines ou à Capito américain. C'est quand même pas la même chose. exactement une fois qu'on arrive. donc du coup, j'ai commencé par faire des événements.
Christina Rebuffet-Broadus (04:21.57)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (04:26.254)
Oui.
C'est la même chose, c'est pas la même chose, oui.
Marion (04:37.995)
adossé à une association. Donc un mois après être arrivée, j'ai commencé à organiser des événements pour rencontrer des femmes dans la tech, voir un peu ce qui se faisait, les jobs, les entreprises, etc. Et en fait, ça a décollé très vite. Comme tu l'as dit, j'ai scalé jusqu'à 6000 personnes en un an et demi.
Christina Rebuffet-Broadus (04:47.566)
Hmm... Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (04:53.71)
Oui.
Marion (05:02.399)
Et en fait ça, ça m'a permis vraiment de m'inscrire de manière durable dans l'écosystème tech américain. Parce qu'à l'époque, je ne savais pas du tout à quel point les communautés étaient importantes, surtout à New York. Voilà, donc j'ai fait ça pendant un peu plus d'un an et demi. J'ai travaillé en parallèle chez Texas en tant que directrice des partenariats. Et ensuite au bout de...
Christina Rebuffet-Broadus (05:10.51)
Mmmh,
Christina Rebuffet-Broadus (05:16.201)
Oui, oui, oui, oui.
Marion (05:32.171)
dans le moment où j'ai décidé de monter mon entreprise, la crème de la stem, pour soutenir les femmes entrepreneurs et démystifier le côté entrepreneurial. Donc effectivement, j'ai eu beaucoup, je dis toujours, j'ai eu trois vies depuis que je suis allée à New York. Ça fait que trois ans, mais j'ai fait beaucoup de choses et c'est ce que j'aime aussi aux États-Unis, particulièrement à New York, c'est cette capacité qu'on a à pouvoir se réinventer.
Christina Rebuffet-Broadus (05:46.304)
Oui ? Oui ?
Marion (05:59.313)
plusieurs fois sans que ça pose problème, tant qu'on explique la cohérence. En l'occurrence, dans mon cas, c'est tout est lié à la partie business, développement, interaction, connexion avec les gens et c'est ça qui m'anime au quotidien.
Christina Rebuffet-Broadus (06:14.382)
Non, non, c'est vraiment intéressant et j'aime bien quand tu dis, tu dis, j'ai eu trois vies en trois ans, c'est ça. Et en fait, je pense que ça montre justement à quel point des choses peuvent aller vite, en fait. Alors, qui peuvent aller vite, si on se bouge, parce que clairement, je pense que des choses ne sont pas tombées dessus. Tu dit, tiens, je veux des opportunités et des gens se sont jetés sur toi. Je pense que tu as vraiment, tu as mis de l'énergie et...
Marion (06:21.035)
C'est ça.
Christina Rebuffet-Broadus (06:41.782)
de l'effort et je pense que c'était peut-être pas facile au début peut-être pour trouver qu'est-ce que tu vas faire et comment tu vas y arriver, etc. Comment ça s'est passé un peu justement les débuts?
Marion (06:54.187)
Oui, c'est vrai qu'au début, je ne savais pas du tout ce que je voulais faire. Je ne pas si je voulais rester dans le tech, B2B, SaaS. Je ne connaissais pas vraiment le milieu de l'investissement qui est très marqué aux États-Unis. me suis rendue compte... Oui, surtout post-COVID. New York a été une des premières villes à rebondir en post-COVID, plus que San Francisco.
Christina Rebuffet-Broadus (07:06.158)
Oui, encore plus à New York, pense.
Christina Rebuffet-Broadus (07:17.484)
Oui. D'accord,
Marion (07:19.179)
San Francisco regagne beaucoup d'intérêt avec l'essar de l'intelligence artificielle, mais New York a été une des premières villes à se relever, donc ça se ressent en fait dans la résilience. C'est vraiment une qualité qu'il faut avoir pour être à New York, et c'est une qualité qui est récompensée effectivement quand on s'en donne les moyens.
Christina Rebuffet-Broadus (07:25.742)
Oui, oui.
Christina Rebuffet-Broadus (07:36.929)
OUI
Marion (07:45.643)
C'est vraiment ce que je retiens de mon expérience et même au quotidien encore aujourd'hui, c'est qu'il faut constamment alimenter le feu, constamment créer le faux mot Fear of Missing Out qui est très fort à New York. Il y a beaucoup d'intérêt sur tout ce qui est nouveau, mais il y a beaucoup de personnes qui commencent des choses et ça prend tout de suite parce qu'il a un intérêt pour être le early adopteur du...
Christina Rebuffet-Broadus (07:59.982)
Oui.
Marion (08:13.643)
de toute tendance, fait, contrairement à la France, ce qui est vraiment intéressant. Mais du coup, il faut montrer qu'on est tout le temps early, early, early, donc il faut constamment, constamment se réinventer. Ça peut être aussi fatigant. faut quand même beaucoup d'énergie pour maintenir ce genre de rythme.
Christina Rebuffet-Broadus (08:29.422)
Pour maintenant, fait, pour garder, en fait, c'est presque toujours, on pourrait pas dire que je donne beaucoup d'énergie au début et après c'est bon, je vais trouver un rythme de croisière et ça va être tranquille au bout de quelques années. C'est vraiment, en fait, je vais pas dire qu'il constamment se renouveler, mais en fait, il faut toujours y aller et y aller d'avant et chercher des opportunités et créer des choses. C'est vrai que c'est, oui, ça demande beaucoup d'énergie, mais après...
Je pense que quand on met beaucoup d'énergie, a aussi ce retour sur cet investissement d'énergie parce qu'on va pouvoir embarquer des personnes avec nous et du coup ça va créer de l'élan, créer un peu cet effet boule de neige. Je pense que c'est peut-être ce que tu as vu avec la crème de la stem en fait, parce que ça s'est développé très vite.
Marion (09:16.267)
Oui, tout à fait. Une des nombreuses raisons pour laquelle j'ai démarré la crème de la Seine, c'est parce que j'ai eu une opportunité d'être speaker pour le département du commerce, qui chaque année organise un grand événement qui s'appelle SelectUSA, avec 5000 personnes, des investisseurs, les États viennent présenter leurs offres et en quoi leur état est meilleur qu'un autre.
Christina Rebuffet-Broadus (09:33.742)
Oui.
Marion (09:44.107)
Et en fait, j'ai été connectée à quelqu'un qui travaille là-bas via l'Occitanie, via la région Occitanie. Alors effectivement, ça n'est pas arrivé immédiatement. J'ai été connectée à la région Occitanie parce que j'ai fait beaucoup d'événements. On a fait un événement ensemble. Pendant cet événement-là, il y avait quelqu'un qui est avec USA. J'ai maintenu le contact, j'ai fait des follow-up. C'est beaucoup de petits effets ricochés qu'on ne voit pas forcément.
Christina Rebuffet-Broadus (10:07.918)
Hmm?
Marion (10:12.555)
et en fait cette personne m'a connecté aux personnes en charge de l'organisation parce qu'elle a estimé que je pouvais être une bonne speaker. en fait ça s'est fait sur plusieurs mois, sur quasiment six mois finalement et en fait quand j'ai eu cette opportunité d'être speaker je ne pouvais pas y aller avec Techstars parce que je n'étais pas officiellement représentante de la communication, du marketing.
Christina Rebuffet-Broadus (10:20.942)
Désolé !
Christina Rebuffet-Broadus (10:33.486)
Mmmh
Marion (10:36.747)
Je pouvais pas non plus vraiment y aller avec la non-profit pour laquelle j'étais bénévole parce qu'il y eu quelques changements. voilà, c'était un peu compliqué en termes d'approbation des deux côtés. Et c'est à ce moment-là où je me suis dit, c'est quand même une opportunité absolument incroyable. Je me rendais toute ma vie d'avoir manqué ça. Donc c'était une des motivations pour laquelle je me suis dit...
Christina Rebuffet-Broadus (10:54.542)
...
Marion (11:02.379)
il faut que je monte ma marque, moins pouvoir le faire sous un pavillon neutre qui soit ma marque, qui puisse pas être... où j'ai pas besoin forcément d'approbation, quelques hiérarchies que ce soit. Et de fil en aiguille, c'est comme ça que j'ai monté la crème de la seme très vite. Donc ça a été...
Christina Rebuffet-Broadus (11:09.006)
Oui, c'est vraiment toi en fait,
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (11:20.749)
Oui, oui.
Marion (11:29.853)
une opportunité vraiment incroyable de oui, mois, quelques semaines après avoir lancé la crème de la STEM, être présente, représenter ma marque à cette grosse conférence en tant que speaker. Et d'ailleurs, ils m'ont même demandé d'être mentor et d'être juge pour le concours de pitch. Donc voilà, j'ai été très, très occupée.
Christina Rebuffet-Broadus (11:38.626)
Oui
Christina Rebuffet-Broadus (11:45.1)
Bon.
Christina Rebuffet-Broadus (11:51.274)
Ouais, ouais, ouais.
Marion (11:57.277)
Très vite, après c'est beaucoup de personal branding, ça c'est vraiment quelque chose qui est encore une fois très différent de la France. Bon j'ai toujours un peu joué avec LinkedIn en France, mais plus d'un point de vue business développement pour aller chercher des clients que vraiment pour me mettre en avant. Et ça c'est vraiment quelque chose que j'ai découvert ici, l'intérêt de personal branding.
Christina Rebuffet-Broadus (12:04.084)
Oui. Oui. Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (12:12.302)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (12:19.95)
Hmm.
Marion (12:20.139)
et à quel point ça ouvre des portes absolument exceptionnelles. C'est vraiment... D'ailleurs, on peut rencontrer comme ça aussi via ParlinDinInterposé. On connaissait nos profils respectifs. Et ça, c'est vraiment très puissant. C'est pareil, ça demande de l'énergie, ça demande un peu d'investissement au début, mais après, c'est comme pour tout. Une fois qu'on prend le pli, ça devient un automatisme.
Christina Rebuffet-Broadus (12:29.614)
...
Christina Rebuffet-Broadus (12:40.846)
Oui.
Marion (12:49.739)
Et voilà, du coup la partie personne le branding est très très importante aussi, surtout que depuis que je suis à mon compte encore plus.
Christina Rebuffet-Broadus (12:57.198)
Oui, encore plus oui. en fait, justement, on va revenir pour parler un peu plus de la mission de la Crème de l'acide parce que je trouve que c'est vraiment, pour moi, je trouve ça fabuleux et je trouve que c'est un sujet qui a vraiment besoin d'être adressé. pour le Personal Branding, alors ça, c'est vraiment intéressant parce que comme tu as dit, il a vraiment une différence. Alors moi, ce que j'entends beaucoup.
Alors moi je travaille beaucoup avec des dirigeants, soit des dirigeants de PME qui sont très occupés à diriger leur entreprise et leurs équipes, soit des fondateurs, souvent de start-up ou de scale-up, qui ont un parcours souvent très tech, ingénieurs, scientifiques, parfois dans les métèques, etc. Et en fait tout ce qui est marketing, personal branding, etc. ce n'est pas forcément...
là où ils sont le plus forts, où ils sont le plus à l'aise et c'est normal, c'est presque un métier, c'est pas leur métier principal. Mais il y a un peu ce... Je dirais, alors pas chez tout le monde, mais beaucoup de résistance à cette idée de «personal branding», ouais, c'est du bullshit, c'est raconté, mon père, il a un concert et voici ce que ça m'a appris sur l'entrepreneur, enfin des trucs comme ça. Et pour toi, en fait, je suis curieuse de savoir...
Quelles sont les différences que tu as pu constater entre peut-être la vision qu'on a du personal branding en France et cette vision de personal branding qu'on a, je vais partir aux États-Unis parce que c'est énorme, mais peut-être à New York spécifiquement.
Marion (14:36.287)
Oui, effectivement je comprends tout à fait ce que les entrepreneurs peuvent vanter. D'entrepreneurs français il a un côté où il faut se mettre en avant, il faut se vanter, faut dire pourquoi je suis la meilleure dans tel ou tel domaine, Donc forcément c'est un exercice avec lequel on n'est pas du tout à l'aise en France, qui n'est pas du tout valorisé en France non plus.
Christina Rebuffet-Broadus (14:46.286)
...
Christina Rebuffet-Broadus (14:51.502)
...
Christina Rebuffet-Broadus (14:57.666)
Oui, oui aussi oui, je pense que c'est simplement culturel en fait cette réticence mais je dis, c'est normal vu les différences de culture mais oui, vas-y.
Marion (15:02.731)
Bon.
Marion (15:11.403)
Je pense qu'en fait il faut peut-être repositionner la partie personnelle branding sur juste du partage d'expérience. Effectivement le genre de postes très dramatique, c'est pas forcément, enfin moi je fais pas du tout ça comme contenu. Je pense qu'il faut vraiment réussir, enfin ça paraît assez basique de dire ça, mais il faut réussir à rester authentique et à trouver sa voix. en fait moi je me force pas du tout à parler d'un sujet ou d'un autre.
Christina Rebuffet-Broadus (15:25.921)
Oui, non, non,
Marion (15:41.163)
J'ai une ligne éditoriale qui est « Qui je suis », je suis passionnée par la partie community building, donc je parle des événements que j'organise, des événements que j'ai organisés. Je parle des conférences auxquelles je vais participer, auxquelles j'ai participé. Finalement, ça peut être assez basique. Ce qui est intéressant en termes de contenu, pense, c'est qu'est-ce qu'on partage et qu'est-ce que...
qu'est-ce que les autres peuvent apprendre. je pense que quand on se positionne un peu comme ça en se disant, si je connaissais quelqu'un qui était à telle conférence, j'aimerais bien savoir comment ça se passe. J'avais fait par exemple un post-Kindin sur New York Tech Week, qui est un très gros événement à New York qui a lieu chaque année, mais qui peut vite être overwhelming. Il y a beaucoup d'événements partout. C'est très compliqué de trouver des bons événements. Et c'est vrai que...
j'avais eu beaucoup de personnes qui m'avaient demandé des conseils donc du coup j'avais créé un post LinkedIn par rapport à ça en expliquant comment sélectionner les bons événements, comment les trouver, combien de temps se laisser, comment s'habiller, voilà, juste un peu des informes qui très pratiques mais c'était aussi basé sur j'aurais aimé avoir ce genre de post avant de faire mon premier New York Tech Week donc je pense que voilà, en se positionnant soit en regardant
Christina Rebuffet-Broadus (16:58.255)
Oui.
Marion (17:02.535)
la raison pour laquelle les gens nous contactent, où sont intéressés. Ça, c'est assez simple quand on interagit dans la vraie vie. l'idée de voir ce pourquoi les gens nous parlent, ou même, voilà, aiment nous écouter, etc. Et donc ça, c'est un premier aspect qui peut aider à définir un peu quelques postes. Et un autre aspect, c'est qu'est-ce que j'aurais aimé savoir et que je souhaite partager avec...
Christina Rebuffet-Broadus (17:09.557)
Oui, oui, c'est ça, oui.
Christina Rebuffet-Broadus (17:15.811)
pour les questions qu'ils
Christina Rebuffet-Broadus (17:28.975)
Mmmh...
Marion (17:32.039)
avec ma communauté, followers, juste des gens qui sont dans le même secteur tout simplement.
Christina Rebuffet-Broadus (17:37.111)
Oui, ça oui. pense que c'est en fait, c'est ça, c'est... Alors moi je trouve que, je sais pas si tu d'accord ou pas, tu me diras, que c'est important effectivement de définir une trame ou une ligne éditoriale pour se dire, ok, moi je vais parler de ces sujets-là, comme ça j'évite de disperser parce que si moi j'avais pas ma ligne éditoriale, je parlerais un jour de développement personnel, du sport que je fais, du marché US, du marketing.
de mes vacances, etc. Parce que j'ai parfois tellement de choses que j'ai envie de partager avec des gens que je connais, que ça pourrait partir dans tous les sens, mais il faut aussi se dire que LinkedIn, c'est aussi un réseau business. Donc on est là pour que des gens nous identifient pour ce qu'on fait, pour qui on est, etc. Et du coup, il faut quand même avoir un certain cadre.
pour fait permettre aux gens de voir pas toujours la même chose, mais les mêmes idées, les mêmes sujets qui reviennent pour qu'ils disent, Marion, oui c'est New York, c'est Crème Place Thème, c'est le community building, c'est le réseau, etc. Parce que sinon, a du mal, il y a plein de gens, on les voit tout le temps, mais on est peut-être incapable de dire ce qu'ils font exactement parce qu'ils parlent de plein de sujets. Et c'est très intéressant.
Mais c'est pas forcément... Après c'est peut-être qu'ils ont un autre objectif, mais si moi mon objectif c'est de faire la promotion de mon entreprise, de mon activité, de créer cette relation, cette authenticité, il faut quand même avoir un cadre un peu structurant pour contrôler ça en fait.
Marion (19:27.349)
Oui, tout à fait. je pense que, après, pense que de temps en temps, c'est OK aussi de sortir du cadre et de partager des choses un peu différentes. Ça permet justement de tester, de voir aussi, est-ce que les gens finalement sont intéressés pour savoir où j'ai passé mes vacances ? Peut-être que ça peut être du contenu intéressant. Bon, je suis pas sûre que ça passe beaucoup au public français, mais voilà, c'est vrai que je vois aussi des posts sur LinkedIn de plus en plus personnels parce que...
Christina Rebuffet-Broadus (19:33.103)
Oui. Oui. Oui.
Marion (19:57.291)
Il y a eu beaucoup de changements entre TikTok et c'est l'algorithme sur LinkedIn change beaucoup et c'est vrai que je vois beaucoup de... enfin beaucoup, je vois certains postes que je ne voyais pas avant, type je me suis mariée, j'ai acheté une maison, j'ai eu un enfant, etc. voilà, ça devient un peu... il a quand même un aspect personnel. Moi, je ne pas forcément à l'aise avec ça. Donc, ce n'est pas du quelque chose que je partage, je parle pas du tout de mon mari ou même...
Christina Rebuffet-Broadus (20:05.122)
Oui, on se dit oui.
Christina Rebuffet-Broadus (20:13.615)
3
Christina Rebuffet-Broadus (20:21.391)
Hmm?
Christina Rebuffet-Broadus (20:26.351)
Oui. Oui.
Marion (20:26.923)
parle pas du tout de la France non plus sur LinkedIn parce que mon objectif c'était de m'intégrer très vite dans les systèmes new-yorkais sans rappeler aux gens que je suis française mais ça peut être tout à fait un angle de voilà comment en tant que française j'ai eu telle telle opportunité aux Etats-Unis, voilà les différences culturales, enfin je pourrais aussi avoir tout un aspect si je voulais attirer plus de français par exemple sur mon LinkedIn ce qui est encore une fois pas forcément le cas aujourd'hui.
Christina Rebuffet-Broadus (20:35.119)
...
Marion (20:56.779)
Je pourrais avoir du contenu en français en expliquant mon expérience aux Etats-Unis, etc. Je pense qu'après, il faut aussi tester de temps en temps, voir ce qui fonctionne. Et puis c'est que l'algorithme change quand même des manière régulière. On parlait beaucoup de il y a pendant quelques temps, j'envoie beaucoup moins.
Christina Rebuffet-Broadus (21:22.031)
Oui, et moi j'entends toujours, vidéo ça marche beaucoup mieux. Moi quand je fais des vidéos ça marche pas beaucoup mieux que mes postes textes. Alors c'est peut-être moi qui fait mal les vidéos, ouais, moi je me dis l'algorithme, mais ça change tellement tout le temps que écoute, je vais pas chercher à plaire à la... je vais faire mes postes et de toute façon un jour ça peut avoir beaucoup d'impact et peut-être un jour non.
Marion (21:44.296)
Ouais, je le fais.
Christina Rebuffet-Broadus (21:50.735)
C'est un peu comme l'investissement, des fois on va investir, ça va faire un bon retour et des fois non, mais au final ça s'équilibre.
Marion (21:58.021)
Exactement, oui. je pense qu'effectivement, comme tu dis, ne pas forcément se fier à l'algorithme, parce que ça devient un métier du coup à temps plein d'essayer de voir ce qui fonctionne, de vouloir être virale à tout prix. Ça, c'est... coup, on devient content creator et plus du tout entrepreneur avec une passion au branding. Moi, la vidéo, j'aime pas ça, j'aime pas me filmer.
Christina Rebuffet-Broadus (22:03.471)
...
Christina Rebuffet-Broadus (22:14.063)
...
Marion (22:20.011)
J'aime bien du contenu comme ça où on est en podcast, on discute et la conversation est plus fluide, mais moi tout seul me filmer sur mon ordinateur avec un prompt pour essayer de faire une vidéo de 30 secondes, j'ai tenté, je n'aime pas du tout, je ne pas à l'aise, je mets trois heures pour faire une vidéo que je n'aime pas du tout, donc je laissais tomber.
Christina Rebuffet-Broadus (22:32.931)
mais c'est ça, oui !
Christina Rebuffet-Broadus (22:42.891)
Oui !
Marion (22:46.859)
ce moment, suis en train de sur faire des extraits vidéo des conversations ou des webinars que j'ai pu avoir avant. je pense qu'il aussi savoir s'écouter. Moi, il y a des contenus qui ne m'ouvrent pas du tout. La vidéo, en l'occurrence, c'est pas là où je suis plus à l'aise. J'aime bien la partie conversationnelle, podcast, mais faire des vidéos en facecam, je n'en fais pas du tout. Côté perso, côté pro, je n'arrive pas à le faire.
Christina Rebuffet-Broadus (22:52.226)
Mmmh ! C'est très goffreux
Marion (23:16.875)
c'est pas moi quoi, c'est content.
Christina Rebuffet-Broadus (23:17.111)
Oui, et je pense qu'il a un peu de ça aussi, c'est de se dire si j'essaie de me forcer à faire un truc que j'aime pas faire et je suis pas à l'aise, je vais toujours procrastiner pour ne pas le faire et du coup ça devient un blocage. Non, je peux pas publier parce que j'aime pas faire les vidéos de moins de 30 secondes. Publi autre chose dans ce cas en fait. je pense que c'est... Oui, comme t'as dit, il faut s'écouter et aussi trouver ce qui nous permet.
Marion (23:34.923)
Alright,
Christina Rebuffet-Broadus (23:45.759)
d'arriver à notre objectif qui est justement de se rendre visible, de créer des liens, de se connecter avec des gens, d'attirer des personnes et il faut faire ce qui marche pour soi aussi en fait. Et une question justement parce qu'on a parlé pas mal des différences de cette idée de personal branding, de se mettre en avant entre la France et les États-Unis. Est-ce que toi tu as eu
Marion (24:00.829)
Voilà, exactement.
Christina Rebuffet-Broadus (24:15.287)
une évolution par rapport à quand il arrivé versus maintenant, comment ça... Est-ce qu'il a des choses qui ont changé et si oui, qu'est-ce qui a changé ?
Marion (24:26.677)
Oui, la régularité à laquelle je poste. C'est vrai que depuis que j'étais arrivée aux États-Unis, je postais un petit peu, mais vraiment de manière assez sporadique, une fois ou deux fois par mois. Mais je voyais bien que ça fonctionnait très bien. J'avais quand même compris un peu le fonctionnement LinkedIn. Et quand j'ai démarré mon entreprise, voulais, sans faire de grandes annonces en disant, je quitte Xars, je quitte cette association, je voulais juste...
Christina Rebuffet-Broadus (24:29.647)
OK.
Christina Rebuffet-Broadus (24:35.375)
...
Christina Rebuffet-Broadus (24:38.831)
Oui.
Marion (24:55.755)
en disant maintenant Marion Cibonissé, la crème de la stem et du coup j'ai créé beaucoup de contenu autour de ça et j'ai beaucoup posté justement autour de New York Tech Week du contenu assez simple en disant voilà aujourd'hui je vais à tel événement taguant les personnes en disant si vous êtes dans le coin faites moi signe j'ai fait un poste par jour comme ça en disant voilà ce que j'ai appris hier voilà ce que je fais aujourd'hui, ce que je fais demain etc et en fait
Au bout de deux, trois semaines, j'ai gagné énormément de followers. suis maintenant à presque 12 000 followers après un an parce que j'ai beaucoup posté. J'étais à 1500 il y un an, donc vraiment une très grosse évolution. Et ça, ça m'a permis de dire un peu à mon réseau, maintenant je fais la crème de la seme. C'est un réseau pour les femmes entrepreneurs. Je vais travailler avec des investisseurs. Si vous êtes un investisseur, contactez-moi. Je vais travailler avec des corporate partners.
Christina Rebuffet-Broadus (25:29.839)
Ok, ouais, hein ouais. Ouais, à Bravo,
Marion (25:52.457)
Si vous êtes des partenaires, contactez-moi. en fait, le fait de partager ça, en deux semaines, je pense que l'intégralité de mon réseau avait compris que je faisais ça. Je prenais des cafés avec des gens en lui disant, je ne pense pas que tu as dû voir sur LinkedIn, mais maintenant, j'ai monté mon entreprise et tout monde me disait, oui, j'ai vu, oui, oui, je sais, je sais. En fait, c'est surpris, me disais, bon, donc il a quelqu'un qui lit.
Christina Rebuffet-Broadus (26:17.399)
Oui, en fait, ça m'arrive aussi des fois, je peux rencontrer des gens dans des événements que moi je ne pas forcément qui sont parce qu'ils interagissent pas beaucoup et ils oui, je suis tes postes depuis un an, je les trouve formidables. Je suis hyper touchée en fait, ça fait toujours plaisir. Mais ça montre aussi ce que tu as dit que le fait, même si nous, ne voit pas que les gens nous voient, ils nous voient en fait. oui.
Marion (26:34.091)
...
Marion (26:44.491)
Je
Christina Rebuffet-Broadus (26:46.625)
Et justement, là pour revenir, parce que je voulais voir aussi la mission de la crème de la stem en fait. Donc qu'est-ce que c'est exactement? Qu'est-ce que tu fais et raconte-nous un peu ce projet.
Marion (27:00.181)
Oui, j'ai monté un réseau de femmes entrepreneurs basées aux États-Unis qui sont Early Stage, donc Bootstrap Precited. Je les ai sélectionnées, j'ai sélectionné une première cohorte mois de janvier 2025 de 45 femmes. Il y avait un process, un petit peu comme un accélérateur avec...
Christina Rebuffet-Broadus (27:09.135)
Hmm?
Marion (27:24.395)
un process de sélection avec un formulaire à remplir et ensuite celle qui me paraissait être intéressante d'un point de vue volontaire plus que d'un point de vue go to market strategy ou possibilité d'avoir des investissements mais vraiment d'un point de vue passion, expertise etc. Je leur faisais passer un entretien pour ensuite les sélectionner, leur expliquer aussi
Christina Rebuffet-Broadus (27:32.207)
Oui.
Marion (27:48.747)
ce que la crème de la seme allait être. Donc, les deux semaines, je reçois des invités. Donc, ça peut être des investisseurs qui vont faire des fireside chats, office hours ou des présentations sur des sujets spécifiques comme l'adjud allegiance ou comment créer du momentum quand on fait une campagne de fundraising. J'ai un réseau de 150 investisseurs.
Christina Rebuffet-Broadus (27:51.279)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (28:03.068)
OUH
Christina Rebuffet-Broadus (28:07.919)
Oui.
Marion (28:16.403)
que je peux solliciter et qu'ils viennent partager leur expérience. Et j'ai également des experts qui peuvent parler. Donc là, c'est un peu plus varié, c'est en fonction des besoins du moment, que ce soit leadership, go to market strategy, co-founder dynamics. Voilà, j'ai un peu tous les sujets. Je vais essayer de couvrir un maximum de sujets parce que l'entrepreneuriat, c'est quand même large.
Christina Rebuffet-Broadus (28:42.863)
Il en a tellement qu'il faut couvrir pendant son entreprise. Oui.
Marion (28:46.027)
On peut essayer de être infini le nombre de sujets qu'on traite. Les formats, c'est généralement une heure. J'ai toujours de la place pour les questions-réponses. J'encourage beaucoup les entrepreneurs du réseau à poser des questions, à être curieuses. Il n'y a pas de questions bêtes. pense qu'il a beaucoup de...
Christina Rebuffet-Broadus (28:58.958)
Hmm.
Marion (29:09.363)
avec justement l'effet LinkedIn, réseaux sociaux, y a beaucoup d'effets... J'ai l'impression que tout le monde comprend sauf moi, mais non, non, y a beaucoup de gens qui ne comprennent pas, mais qui n'osent pas poser la question. Donc, non,
Christina Rebuffet-Broadus (29:19.534)
C'est ça? Ouais, non, c'est... Ouais. D'accord. OK, non, non, non. Je pense que oui, c'est... Enfin, parce qu'on voit toujours cette statistique de... C'est quoi? C'est que 2 % des investissements se convient à moins de 2 %. Donc, il a vraiment... Je pense qu'il a peut-être des biais à corriger, en fait. Je pense que ce n'est pas que les investisseurs, ont de mauvaise volonté, mais en fait, c'est juste des biais connectifs qu'on a...
Marion (29:31.293)
Oui, moins de 2 %
Christina Rebuffet-Broadus (29:46.479)
en fait. je pense que c'est vraiment important en fait de faire ce travail, d'inverser cette tendance ou cette courbe pour ce qu'il plein d'années qui font des trucs hyper innovants, chouettes, très puissants, mais qui ont besoin d'avoir l'effort en fait pour développer leur concept en fait. Donc ok, merci pour ce travail. Non, c'est chouette.
Marion (30:12.395)
...
Christina Rebuffet-Broadus (30:16.353)
On va revenir un peu aussi sur les différences de New York, France, etc. Qu'est-ce que tu apprécies particulièrement à New York, que peut-être tu n'as pas trouvé en France ?
Marion (30:32.587)
Le fait qu'on donne la chance quand même, pas à n'importe qui, parce qu'il faut quand même montrer qu'on a un certain champ de compétences, mais il y quand même une grosse différence qui est sur le fait qu'on donne la chance plus en fonction des compétences de la personne plutôt que du...
Christina Rebuffet-Broadus (30:36.623)
...
Christina Rebuffet-Broadus (30:43.855)
Oui.
Marion (30:58.715)
statut social de tu as travaillé dans quelle entreprise, tu avais tel poste. C'est qu'en France, a tendance à être un peu... La mentalité est différente. ça se joue pas forcément comme ça en France. Aux Etats-Unis, a vraiment le côté de tu as travaillé, j'en sais rien, en magasin. Du coup, tu as du compte à client. Donc, du coup, tu peux aller vendre des logiciels parce que tu sais ce que c'est de parler à un client.
Christina Rebuffet-Broadus (31:07.631)
C'est une chambre, oui.
Christina Rebuffet-Broadus (31:12.591)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (31:21.583)
Oui. Oui.
Marion (31:26.515)
Alors en France, on n'aurait pas ce genre de transition, de la clé d'un magasin de chaussures à l'électricité. Et en vrai, je vois beaucoup de personnes, enfin ça m'avait beaucoup, beaucoup marqué quand je suis arrivée. Je connaissais quelqu'un qui était passé de professeur des écoles à travailler pour un fonds d'investissement. voilà. Et j'ai beaucoup d'exemples comme ça. Je pourrais en sortir une liste très longue, j'ai un ami qui était en...
Christina Rebuffet-Broadus (31:32.943)
à produire
Christina Rebuffet-Broadus (31:44.399)
D'accord.
C'est pas possible.
Marion (31:56.465)
en immobilier, agent immobilier qui est passé côté logiciel d'entreprise parce que voilà, il avait ses compétences commerciales plus qu'une connaissance technique ou IT et voilà maintenant il a une très très belle carrière et je pense pas qu'il aurait pu faire ça en France parce que voilà, la France a beaucoup de qualités mais il a quand même ce côté un peu de... on est vite enfermé sous un certain profil
Christina Rebuffet-Broadus (32:13.263)
Mmmh !
Christina Rebuffet-Broadus (32:19.449)
Oui, oui, oui, c'est oui.
Marion (32:26.475)
Donc voilà, au bout d'Asie...
Christina Rebuffet-Broadus (32:26.991)
Je pense que c'est peut-être, tu me diras si c'est ce que tu vois aussi, mais en fait aux États-Unis, et là je parle vraiment de généraliste, en fait on va regarder, oui, pour certains métiers, les compétences métiers, tu ne pas t'improviser comptable par exemple.
Marion (32:45.853)
Oui on peut faire, on peut faire !
Christina Rebuffet-Broadus (32:48.143)
Tu ne pas t'improviser avocat. Donc il y a quand même des compétences spécifiques qu'il faut avoir pour certains métiers. Mais ce qu'on va regarder aussi, c'est en fait ta posture, ton attitude, ton énergie et tes désirs. Ok, tu connais peut-être pas notre produit, notre entreprise, ce métier précis. Mais je vois dans ton parcours, tu as fait plein de choses différentes. Tu peux vite apprendre, j'imagine. Tu as plein d'autres compétences et d'expériences que tu vas ramener.
Marion (32:59.659)
...
Christina Rebuffet-Broadus (33:18.063)
dans ce poste et qu'en fait toutes ces expériences vont être valorisées parce que non, ce n'est pas la compétence pour ce métier précisément, mais il y a d'autres choses qui vont en fait te donner des capacités de réussir dans le poste vers lequel tu vas en fait.
Marion (33:37.045)
Oui, tout à fait, exactement. C'est un marché qui est dynamique, les gens peuvent aussi perdre leur emploi du jour au lendemain, donc ils sont aussi obligés d'avoir cette capacité de résilience, de rebondir, etc. Donc c'est d'autant plus accepté qu'il quand même une réalité du marché de l'emploi qui est complètement différente de la France.
Christina Rebuffet-Broadus (33:44.463)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (33:54.191)
Oui, c'est une réalité. Complètement, oui. Mais c'est peut-être aussi justement pour cette raison-là que les gens, savent que, imaginons, ils sont virés de leur travail du jour au lendemain, ce qui peut arriver. Ils doivent aller trouver quelque chose rapidement pour faire rentrer l'argent parce que souvent les Américains, n'ont pas d'économie de côté et il n'y a pas de filet de sécurité comme on peut avoir en France.
Et du coup, peut peut-être pas forcément être très... On peut pas se dire, ben moi j'étais commerciale dans une entreprise SaaS, je cherche que ce type de poste. Donc il faut peut-être être un peu plus ouvert parce qu'il faut rapidement retrouver quelque chose pour assurer un peu sa sécurité financière en fait, tout simplement. Ouais, c'est vrai que c'est une réalité de la vie aux États-Unis,
Marion (34:45.515)
Je ne
Christina Rebuffet-Broadus (34:53.359)
Il a peut-être un stéréotype ou une idée récieue qu'on a, c'est que les Américains, oui, ils sont très ouverts, qu'on fait des introductions à tout va, etc. Est-ce que toi tu as vu, est-ce que c'est vrai, est-ce qu'il a des nuances ? Comment ça se passe le networking en fait là-bas ?
Marion (35:15.339)
Moi, je n'ai pas eu beaucoup de mal à me faire des contacts très rapidement. Je pense qu'il a un secret qui est le follow-up. Effectivement, c'est très facile d'aller en évènement de networking, de rencontrer beaucoup de gens et derrière, se passe pas forcément grand-chose. pense que si on a envie de continuer la discussion avec quelqu'un, c'est à nous de faire le travail. Les Américains n'attendent pas l'arrivée des Français pour créer de nouveaux contacts.
Christina Rebuffet-Broadus (35:22.863)
Mmmh
Marion (35:45.379)
Il y a beaucoup de concurrence parce qu'il y a beaucoup de personnes qu'on rencontre, etc. Donc, c'est pas facilement évident de se remémorer comment est-ce qu'on a rencontré telle ou telle personne. Donc moi, ce que je fais à chaque fois, c'est que j'ajoute les gens sur LinkedIn et je fais toujours un follow-up, que ce soit pour se dire, c'est sympa de discuter avec toi à la soirée, X, Y, pour juste me remémorer dans le futur. Parce que c'est vrai que des fois, on croise des personnes et on se dit, mais on se connaît, mais on ne plus d'où.
D'avoir une petite trace écrite sur LinkedIn, j'aime beaucoup faire ça. Et après, quand on a envie de parler vraiment avec quelqu'un, pourrait changer sur un sujet précis. C'est à nous de faire le travail. Après, évidemment, on peut se prendre beaucoup de refus. Ça fait partie du jeu parce qu'il a des personnes qui sont très sollicitées aussi. Donc, il faut le faire bien. Juste proposer un café, c'est pas suffisant. Proposer un café pour parler d'un sujet spécifique en disant...
Christina Rebuffet-Broadus (36:26.319)
Hmm.
Marion (36:43.115)
j'ai tel projet, j'aimerais t'incorporer à ce projet-là pour telle et telle raison. Là, à ce moment-là, on a une vraie demande où la personne en face peut dire, je ne pas la bonne personne, mais je peux te faire une entreprise à quelqu'un d'autre. Ou au contraire, oui, ça m'intéresse d'être impliquée. Moi-même, j'essaie beaucoup de répondre sur LinkedIn, mais toutes les demandes que j'ai, style, on se prend un café de gens que je ne connais pas, je ne sais pas quel est l'objectif de ce café. Donc je réponds pas, en fait.
Christina Rebuffet-Broadus (36:45.071)
...
Christina Rebuffet-Broadus (36:53.583)
Hmm?
Christina Rebuffet-Broadus (37:06.703)
Oui.
Marion (37:13.099)
Moi, peux faire l'effort. Il faut vraiment être précis dans ces demandes et être persistent. être persistent, veut pas dire demander trois fois de prendre un café. Ça veut dire être inventif, dire « Ah, je suis à tel événement, est-ce que tu y seras aussi ? Je suis de passage à New York, est-ce qu'on peut se voir ? » C'est faire l'effort aussi. « Où est ton bureau ? Je vais me déplacer vers chez toi. Il y a toute une palette de nuances qui peuvent permettre de...
Christina Rebuffet-Broadus (37:29.519)
Oui.
Marion (37:42.955)
de créer du contact finalement facilement et d'aller au-delà du j'aimerais parler parce que voilà ce que tu peux m'apporter alors super je sais ce que je peux t'apporter mais je sais pas ce que toi tu peux m'apporter en fait donc voilà
Christina Rebuffet-Broadus (37:50.989)
Oui, en fait c'est ça. Ça aussi je le vois souvent. J'ai pas mal de gens qui m'envoient des messages en disant, je pense qu'on peut avoir des synergies, prendre un rendez-vous, etc. Oui, peut-être. Et moi ce que j'essaie de faire, si je vois quelqu'un où je dis que je peux avoir des synergies avec cette personne, en fait c'est de leur apporter une opportunité, de leur montrer.
Oui, je veux prendre un peu de temps parce que je pense qu'on peut faire les choses ensemble. déjà, voici ce que moi, peux t'apporter. Enfin, moi, j'estime que c'est à moi d'apporter de la valeur à la personne pour lui donner envie de me rencontrer et de passer du temps avec moi. Et enfin, moi, je le prends jamais personnellement quand la personne dit non, n'ai pas le temps, je ne pas, etc. Je me dis, c'est moi, je n'ai pas approuvé ma valeur, en fait. Et du coup, ça me challenge un peu de trouver.
Mais je pense que dans le networking, se dire qu'est-ce que moi je peux apporter à la personne, parce que ça va nous revenir en fait. Et si on s'est apporté, on va recevoir parce qu'on aura l'occasion de discuter avec la personne et c'est là où la magie va se repérer.
Marion (38:56.939)
Bon, je y
Marion (39:06.839)
Exactement. puis, même quand on a rencontré quelqu'un, enfin moi, j'ai beaucoup, beaucoup de demandes. J'encontre beaucoup d'entrepreneurs, évidemment, et j'ai des demandes de personnes, d'entrepreneurs à qui j'ai pas, qui ne m'ont pas parlé ou avec lesquelles j'ai eu aucune interaction pendant six mois, un an, an et demi, deux ans, et qui sortent de nulle part, me disent salut, je suis en train de lever des fonds. Peux tu me faire une intro ? T'es l'investisseur ? Non, enfin, c'est...
Christina Rebuffet-Broadus (39:34.671)
...
Marion (39:34.731)
Ça ne pas comme ça, il faut maintenir le contact. Je le fais avec des gens, déjà je le fais en priorité pour les femmes de mon réseau, je le fais pas avec n'importe qui, mais je suis de carte pour des fonds d'investissement et du coup ça m'arrive quand j'ai des messages bien faits de passer le message. il faut que ce soit bien fait, faut que ce soit des gens qui aient fait l'effort, ce ne pas un message générique. Je pense qu'on voit beaucoup malheureusement de...
Christina Rebuffet-Broadus (39:38.091)
C'est ça oui
Marion (40:01.251)
Le message générique, je n'accepte même pas les demandes de connexion. Pour moi, c'est de la faire de temps. Je suis plus dans la partie ciblée que mass marketing.
Christina Rebuffet-Broadus (40:13.356)
C'est ça, ça,
Oui, et en plus pour moi, ça montre, et je pense que c'est peut-être encore, de manière à ça, c'est des bonnes pratiques LinkedIn Networking, mais je pense que c'est encore plus important pour quelqu'un étranger qui vient sur le marché américain. Et en fait, de faire toutes ces bonnes pratiques, montre, je comprends les règles du jeu, je connais les codes et comment ça fonctionne ici.
Marion (40:25.707)
...
Christina Rebuffet-Broadus (40:43.055)
et ça aide justement peut-être aussi de créer de la confiance et donc aussi de peut-être avoir le rendez-vous.
Marion (40:50.283)
Ouais, tout à fait. Se renseigner sur la personne, ça paraît un peu basique, mais c'est vrai qu'aujourd'hui, il beaucoup de personnes qui pensent pas utiliser même un chat GPT ou Google tout simplement pour voir quel est la personne, ce qu'elle a fait. Moi, j'ai beaucoup de contenu qui est disponible en ligne, que ce soit des vidéos, des podcasts, il y a vraiment tous les formats.
Christina Rebuffet-Broadus (41:00.559)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (41:11.908)
Oui ? Oui, mais c'est pas !
Marion (41:13.835)
d'interviews décrites, voilà. Donc c'est vrai que quand j'ai des questions et que c'est des choses sur lesquelles j'ai déjà partagé en ligne, je me dis bon mais ça en fait la personne aurait pu s'économiser un quart d'heure de son temps et du coup un quart d'heure de mon temps parce que j'ai déjà écrit un article sur comment nettoyer. Donc c'est trouvable, c'est en ligne, on tape Marion Ciboni on le trouve. C'est un peu ça aussi qui est dommage parfois de voir que les gens ne pas l'effort et attendent que...
Christina Rebuffet-Broadus (41:21.166)
Bon.
Christina Rebuffet-Broadus (41:28.217)
si oui !
Christina Rebuffet-Broadus (41:36.269)
C'est ça.
Marion (41:43.531)
que l'interlocuteur fasse l'effort de se vendre etc. J'ai eu ça déjà plusieurs fois les calls comme ça, j'arrête au bout de cinq minutes. Pourquoi est-ce que t'es là aujourd'hui ? Alors c'est toi qui m'a calé un call mais on va t'arrêter tout de suite. pas pourquoi t'es là parce que je n'ai pas plus de s'amuser à perdre.
Christina Rebuffet-Broadus (41:46.443)
Oui, en fait c'est ça.
Christina Rebuffet-Broadus (41:51.855)
Et on peut pas se faire...
Christina Rebuffet-Broadus (41:59.97)
Alors raconte-moi ta vie. mais non. Alors qu'est-ce que tu peux me... Non, c'est... Je pense qu'effectivement, d'autant plus que je dirais que la personne comme toi est très présente sur les réseaux, etc. Si quelqu'un veut avoir un peu de ta sagesse et de ton expérience, aller chercher sur Internet et trouver.
C'est pour ça que tu créé ce contenu en fait. Pour clôturer justement en parlant de trouver tes contenus, Où est-ce qu'on peut te trouver si on veut aller explorer, savoir un peu plus sur la crème de la stem, sur ton expérience aux États-Unis, sur tout ce que tu peux nous partager de tout ce que tu as vécu.
Marion (42:27.359)
Alright, exactement.
Marion (42:50.239)
Oui. LinkedIn, on en a beaucoup parlé, donc je suis assez présente sur LinkedIn. J'ai site internet où j'ai une page presse, donc lacrèmedelastem.com slash presse, sans E, P R E 2 S, où il a l'intégralité des articles dans lesquels j'ai été, podcasts, etc. en termes de contenu, y a beaucoup de contenu. et après, en plus de ça, j'écris une newsletter.
Christina Rebuffet-Broadus (43:00.655)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (43:13.409)
J'ai de quoi faire, oui !
Marion (43:18.563)
avec Substack, donc lacrèmedelacem.substack.com. J'avais fait une pause pendant l'été, mais là, j'ai repris mi-août et je partage les événements auxquels je participe, que je co-hoste et je partage également ma vision de l'écosystème tech en général aux États-Unis, ce soit en anthropo-nariat, intelligence artificielle, on ne pas y échapper.
Christina Rebuffet-Broadus (43:19.087)
Oui.
Christina Rebuffet-Broadus (43:43.631)
Et on mettra bien sûr tous les liens dans les notes pour que les gens puissent juste aller cliquer et trouver facilement. Marion, merci beaucoup pour cette interview, pour ton temps, pour le temps qu'on a mis pour préparer, parce que c'est quand même, c'est pas juste l'épisode. Donc je te remercie vraiment beaucoup pour...
le temps que tu m'as consacré et pour tout ce que tu as partagé avec les auditeurs. Comme je l'ai au début, c'était un concentré de valeurs et de bonnes pratiques pour quelqu'un qui veut justement commencer à aborder le marché américain et comme je dit, l'importance du networking, de la communauté, mais comment le faire comme il faut, selon les règles de l'art. Merci beaucoup Marion.
Marion (44:11.242)
...
Marion (44:30.059)
Oui.
Merci, c'est un plaisir. Bonne journée.
Christina Rebuffet-Broadus (44:38.447)
Bonne journée.